Mais il se distingue surtout par sa détermination à parler des problèmes socio-culturels de l’Afrique à travers ses pièces. Ainsi, il parle des conséquences de la guerre dans ‘La Mère trop tôt’ en 2004, des problèmes du retour au pays pire que l’exil dans ‘Ma Férolia’ ou établit un dialogue entre un gangster des rues et une jeune fille pleine de raison dans ‘Demain je sais pas’. Il met en scène toute la violence d’un pays dans ‘Catharsis’, écrit en 2006 à Limoges, où l’Afrique est symbolisée par une femme en proie à la haine et à l’incompréhension de ses fils. Conservant des liens très forts avec la langue française, il raconte ses contes sur scène, entre Bamako, Bruxelles et Paris.
(Source : evene)