En 1989, il reçoit le Grand Prix Tchicaya U Tam’si du Concours théâtral interafricain pour sa pièce Le Carrefour. Boursier de Beaumarchais, il est accueilli en résidence d’écriture à la Maison des auteurs du Festival des Francophonies en 1992. Il obtient le Prix du Nouveau Talent Radio de la SACD en 1993, la Bourse de la Création du Centre National du Livre en 1996 et le Grand prix littéraire de l’Afrique Noire 2002 pour La Fabrique des cérémonies. Ce deuxième roman publié en 2001 au Seuil le consacre auprès du grand public comme une des grandes voix de la littérature africaine contemporaine.
Il a été aussi en résidence d’écriture à la Maison du Théâtre et de la Danse à Epinay-sur-Seine (Bourse du CNL, 1993), au Centre National des Écritures et du Spectacle (Chartreuse, Villeneuve-lez-Avignon) en 1996…
En 2007, Kossi Efoui a participé à la deuxième édition de Nouvelles Zébrures. En partenariat avec « Les auteurs vivants ne sont pas tous morts », des extraits de ses textes, publiés ou en cours d’écriture ont été lus à Guéret et Limoges.
En octobre 2008, il était présent aux 25ème Francophonies en Limousin pour une lecture de Solo d’un revenant, roman sélectionné à plusieurs prix littéraires et lauréat du prix Tropiques de l’Agence Française de Développement en avril 2009, du prix Ahmadou-Kourouma décerné au Salon africain du livre, de la presse et de la culture à Genève, en avril 2009, et du prix des Cinq continents de la Francophonie de l’OIF en octobre 2009.
En février 2010, l’Institut de Recherches en Etudes Théâtrales de Paris III-Sorbonne Nouvelle, en collaboration avec la Fondation DAPPER, organise un colloque international « Le théâtre de Kossi Efoui : une poétique du marronnage au pouvoir ».
En mars 2011, Kossi Efoui est à nouveau invité à Nouvelles Zébrures, à l’occasion de la publication de son roman L’Ombre des choses à venir.